锅包肉 (guōbāoròu) Beignets de porc sauce aigre-douce

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Published on: 03/04/2018

Ingrédients :

  • 300g de filet de porc,
  • Un peu de gingembre effilé,
  • 1 blanc d’œuf,
  • 1/2 cuillère à café de sel,
  • 1 cuillère à soupe d’alcool de cuisine,
  • 1/2 cuillère de sauce soja,
  • 2 cuillères de vinaigre parfumé,
  • 1,5 cuillère à soupe de sucre en poudre,
  • 1 cuillère à café de glutamate de sodium,
  • Fécule (maïs, pomme de terre…)

 

  1. Découper le filet en tranches (± une bouchée, 3-4 mm d’épaisseur), et les mettre à mariner dans un mélange fait avec un peu de sel, l’alcool de cuisine, le blanc d’œuf, et de la fécule
  2. Placer le sel, la sauce soja, le sucre, le vinaigre, le glutamate et de la fécule dans un bol pour préparer la sauce.
  3. Frire les tranches de filet dans l’huile (140-150 °C) jusqu’à ce qu’elles conservent leur forme, les sortir et les égoutter.
  4. Faire chauffer l’huile à 180°C et y replonger les tranches de porc pour les faire dorer et rendre la pâte croustillante, les retirer.
  5. Faire chauffer un peu d’huile dans une poêle, y verser la préparation pour la sauce, bien mélanger pour homogénéiser.
  6. Ajouter le gingembre, faire sauter un peu puis ajouter les tranches de viande frites et les faire sauter un moment avant de servir.

Notes :

  • J’ai ajouté du ketchup à la sauce, et pas de glutamate.
  • Je n’ai pas mesuré la proportion de fécule nécessaire
  • Réfléchir à des ingrédients de remplacement pour les français

Changements

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Published on: 03/04/2018

Le dernier article remonte à un certain temps déjà, mais je vais profiter des changements à venir pour revoir le fonctionnement de ce weblog et l’utiliser davantage comme un carnet de recettes.

Yichang (宜昌) et les Trois Gorges (三峡)

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Published on: 03/27/2014

Avertissement : les visites se sont faites dans une ambiance « voyage organisé », donc un peu au pas de course, en bus et avec un guide qui ne s’est occupé que des gens qui ont pris les voitures électriques pour se déplacer, vu qu’il touchait une commission sur les tickets. Des descriptions sommaires s’ensuivent. Mais il y a des photos. Enfin, il y aura des photos demain, pour l’instant, c’est juste l’article, j’ai des problèmes pour envoyer les photos aujourd’hui… Les photos sont en ligne.

Le week-end dernier, je suis allé à Yichang avec ma belle-mère, qui devait y récupérer quelques arbres à planter. Des clémentiniers, ou des mandariniers, je ne sais pas trop, on verra à la récolte (la distinction n’est a priori pas évidente en chinois). Ce fut l’occasion de visiter le barrage des Trois Gorges et les alentours.

Un train rapide (qui n’est pas un TGV, juste un train plus rapide que les tortillards habituels) conduit de Wuhan à Yichang en deux heures, à travers la campagne du Hubei. Plusieurs changements architecturaux remarquables au niveau des demeures campagnardes (les anciennes, parce que les modernes se ressemblent toutes), principalement au niveau des toits, au faîtes plus ou moins arrondis, et qui dépassent plus ou moins des murs. Pas de photos du trajet, avec les reflets sur la vitre, rien ne rend. Passons donc à Yichang.

(more…)

Durian

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Published on: 07/31/2013

Objet de ce deuxième article consacré à la gastronomie chinoise, le durian est un fruit apprécié (ou détesté, selon les personnes, les positions intermédiaires sont rares) dans l’ensemble de l’Asie du Sud-Est.

De dimensions assez imposante, le fruit peut peser 6 ou 7 kilos et est doté d’une peau hérissée de piquants, de couleur dorée quand le fruit est presque parvenu à maturité.

Un durian mûr

Celui-ci pèse environ 4,5 kilos.

Durian mûr
Durian mûr sur ma planche à découper.

La partie basse du fruit est visible. Notez les fentes bien visibles, qui apparaissent quand le fruit est mûr. Elles permettent accessoirement de l’ouvrir sans devoir porter des gants de jardinage. Les piquants de la peau sont rigides et acérés.

La chair du fruit se présente sous la forme de poches, contenant chacune une graine et regroupées par 2 ou 3 dans 5 alvéoles indépendantes.

Ouverture
Ouverture du durian

Deux poches, jaunes, sont visibles. La chair qu’elles contiennent est protégée par une membrane souple, peu épaisse.

Durian ouvert
Durian ouvert, pendant le retrait des poches

Deux alvéoles sont ouvertes, l’une des poches a été retirée (et mangée).

Le durian, chair et peau séparées

Vue d’ensemble, les poches de chair retirées. Une graine est visible sur la peau, à gauche.

Maintenant que vous savez comment éplucher un durian, passons au plus important, le goût (et l’odeur !).

La chair du durian a la consistance et la couleur de la crème patissière, avec une texture un peu fibreuse, mais fondante. Le goût est assez particulier, fort, mais très doux, sucré, mais dur à définir. J’essaierai de trouver une description quand je mangerai celui qui finit de mûrir dans ma cuisine et émet déjà son fumet.

Car si le durian a très bon goût, il n’est pas surnommé « fruit qui pue » pour rien. Il est interdit dans les transports en public à Singapour et dans d’autres pays d’Asie à cause de son odeur, forte, extrêmement forte, un genre d’odeur de pieds avec des touches d’oignons pourris, âcre, agressive et persistante. Elle est émise par la peau, et une fois le fruit ouvert ne se sent plus vraiment, la chair n’en porte pas trace. Et, bon, ce n’est pas non plus une odeur capable de faire peur à des mangeurs de Vieux Lille ou de Maroilles…

Le chinois : (2) Bases élémentaires

Categories: Langue
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Published on: 07/29/2013

Deuxième partie de ma tentative de présenter simplement les bases du chinois, en espérant que ça serve à quelqu’un (de toute façon, ça me donne une excuse pour replonger dans mes livres de grammaire et ça me permet de vérifier ma compréhension personnelle, donc ce n’est pas perdu). Aujourd’hui, les éléments de base qui vont permettre de comprendre et éventuellement de produire des phrases simples en chinois. En préambule, une rapide présentation de la grammaire de base et des caractéristiques grammaticales du chinois, que vous pouvez sauter si ça ne vous intéresse pas, ou si vous ne comprenez rien à la grammaire. Ça reste relativement important, néanmoins, et c’est là que je définis les termes que j’utiliserai par la suite. J’essaierai de mettre en place des rétro-liens, et éventuellement un lexique, avec pop-up, en fonction de ce que WordPress (le moteur du site, pour ceux et celles d’entre vous qui ne connaîtraient pas) me permettra de faire. La structure des articles suivants (j’en prévois au moins 10, voir plus, à raison d’un par semaine) devrait être la même que celle de celui-ci. Il n’y aura pas d’examen en fin de session, mais n’hésitez pas à poser des questions dans les commentaires, j’y répondrai ou les intégrerai dans les articles suivants.

Sans plus attendre, commençons.

1. Considérations grammaticales

La grammaire de base du chinois est très simple, car elle ne présente pas de complications, comme conjugaisons et déclinaisons. Pas d’accord, ni en genre ni en nombre, le genre est marqué par le choix des termes, mais pas sensible grammaticalement, uniquement au niveau sémantique, et le nombre explicité soit de manière chiffrée, soit par le contexte, mais jamais sensible sur le verbe ou l’adjectif.

(more…)

Courge amère

Categories: Alimentation
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Published on: 07/27/2013

Pour inaugurer cette rubrique des particularités gastronomiques chinoises, et plus précisément de tout ce qui peut heurter les papilles ou les narines, je vous présente la courge amère :

une courge amère
Courge amère

Avec son aspect de concombre irradié (c’est ma première impression en voyant la courge entière), on n’a pas forcément envie de la mettre au menu. Une fois cette étape passée (on n’a peur de rien, on est des aventuriers, non mais !), la prise en bouche est… amère. Sur ce coup là, les chinois n’ont pas fait dans l’originalité en choisissant ce nom. Le titre de l’article est la traduction littérale du nom chinois 苦瓜 (kǔguā, /kougwa/, de 苦, , amer, et 瓜, guā, courge). Amateurs de douceur, passez votre chemin. Mais si l’amertume ne vous rebute pas, c’est bourré de vitamines, de fibres, et d’eau, forcément, ça reste une courge.

Les chinois lui prêtent bon nombre de vertus thérapeutiques, plus ou moins confirmées par des études médicales plus récentes. Propriétés digestives, purgatives, anti-inflammatoire, anti-flatulences… Elle contribue également à faire baisser la glycémie. Donc mangez-en, c’est bon. Enfin, pas trop quand même, un peu comme tous ces aliments bon pour la digestion, en grosse quantité, ça a un peu un effet extrême…

Si jamais vous parvenez à en trouver sous vos latitudes, on va quand même donner quelques consignes pour la préparer :

Rincer.

Couper en deux dans le sens de la longueur

courge amère fendue
Courge amère fendue, avec le morceau de porc qui cuira avec

Évider, jeter la pulpe (qui ne se mange que quand la courge elle-même est trop mûre pour être mangée…)

Courge amère sans pulpe et porc émincé
Courge amère sans pulpe et porc émincé

Couper la peau en tranches assez fines :

Courge amère tranchée et porc en marinade
Courge amère tranchée et porc en marinade

Le porc marine dans un mélange de sauce soja et d’alcool pour la cuisine (à base d’herbes, ça aromatise), avec de l’ail, du sel et du poivre, tout ça servira de base à la sauce.

Faire revenir tout ça dans un peu d’huile, d’abord la courge, puis le reste, avant d’arroser d’un peu d’eau et de sauce soja

Laisser mijoter quelques minutes, et voilà, c’est prêt.

Un plat traditionnel chinois, en 10 minute. Comme quoi c’est pas compliqué, la cuisine chinoise, finalement.

Courge amère sautée au porc
Courge amère sautée au porc

Anecdote amusante, il paraît que certaines bières chinoises remplacent le houblon par cette courge. Il va falloir que je creuse, je suis curieux de goûter ça.

Prochain article, le durian, aussi appelé « fruit qui pue ». J’ai dit qu’on allait faire dans le spécial, hein. Ce qui manque à ce site, c’est une technologie de reproduction olfactive… Bah, on fera travailler l’imagination, comme ça, c’est pas plus mal.

Nouvelles diverses

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Published on: 07/08/2013

La saison des pastèques bat son plein, et le soleil continue de nous faire lentement rôtir (36° annoncés à l’ombre pour la fin de la semaine…), mais ce début de semaine a eu un petit goût d’inondation.

Les trombes d’eau qui se sont abattues sur Wuhan dans la nuit de samedi à dimanche (je me suis retrouvé en-dessous, mon parapluie n’a protégé que mes lunettes. Mais ça n’a pas empêché le personnel de la voirie de continuer à arroser la route. Ni moi ni Wu Yang (mon bassiste) n’avons su nous l’expliquer…) et ont continué le matin du dimanche :

Petit déjeuner sur la terrasse en regardant la pluie tomber
Petit déjeuner sur la terrasse en regardant la pluie tomber

ont apparemment saturé le réseau d’évacuation de l’eau, et une bonne partie des routes de la ville était couverte d’une couche d’eau, jusque 20 cm par endroits. Les bus ont été bloqués à certains endroits. Photos :

Une rue sous l'eau
Une rue sous l’eau

Et une autre photo :

Le parking de l'immeuble
Le parking de l’immeuble

Certaines bouches d’égout se sont transformées en fontaines, pas très hautes, quelques centimètres, mais l’effet était impressionnant.

Le soleil et probablement les camions de la voirie aidant, tout était revenu à la normale dès le milieu d’après-midi, à part l’étang de la zone cultivée à côté de mon bureau, qui avait pourtant été asséché et comblé en prévision du futur chantier… Encore des immeubles qui vont pousser dans le coin.

À part ça, tout va bien, pas mal de boulot, mais j’enregistrte toujours tout ce qui me passe par la tête, et je ne désespère pas d’arriver à organiser et développer tout ça sous peu.

Installer (et utiliser) QQ 2012 sur Fedora 18

Categories: Informatique
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Published on: 07/02/2013

Cet article m’est essentiellement destiné, au cas où je ne retrouverais pas l’article de base et où j’aurais besoin de ces informations de nouveau.

Source : http://gm100861.blog.51cto.com/1930562/946110

Télécharger qq2012.tar.gz : http://www.vdisk.cn/down/index/10022725

Copier qq2012.tar.gz dans /opt/

[root@comp ~]# cd /opt
[root@comp opt]# tar xf qq2012.tar.gz
[root@comp opt]# cd qq2012/wineapp/qq
[root@comp qq]# ./install.sh
copy files ...
[root@comp qq]#

Installer toute une série de dépendances, si elles ne le sont pas déjà :

[root@comp qq]# yum install alsa-lib-devel.i686 alsa-lib-devel audiofile-devel.i686 audiofile-devel cups-devel.i686 cups-devel dbus-devel.i686 dbus-devel fontconfig-devel.i686 fontconfig-devel freetype.i686 freetype-devel.i686 freetype-devel giflib-devel.i686 giflib-devel lcms-devel.i686 lcms-devel libICE-devel.i686 libICE-devel libjpeg-turbo-devel.i686 libjpeg-turbo-devel libpng-devel.i686 libpng-devel libSM-devel.i686 libSM-devel libusb-devel.i686 libusb-devel libX11-devel.i686 libX11-devel libXau-devel.i686 libXau-devel libXcomposite-devel.i686 libXcomposite-devel libXcursor-devel.i686 libXcursor-devel libXext-devel.i686 libXext-devel libXi-devel.i686 libXi-devel libXinerama-devel.i686 libXinerama-devel libxml2-devel.i686 libxml2-devel libXrandr-devel.i686 libXrandr-devel libXrender-devel.i686 libXrender-devel libxslt-devel.i686 libxslt-devel libXt-devel.i686 libXt-devel libXv-devel.i686 libXv-devel libXxf86vm-devel.i686 libXxf86vm-devel mesa-libGL-devel.i686 mesa-libGL-devel mesa-libGLU-devel.i686 mesa-libGLU-devel ncurses-devel.i686 ncurses-devel openldap-devel.i686 openldap-devel openssl-devel.i686 openssl-devel zlib-devel.i686 pkgconfig sane-backends-devel.i686 sane-backends-devel xorg-x11-proto-devel glibc-devel.i686 prelink fontforge flex bison libstdc++-devel.i686 pulseaudio-libs-devel.i686 gnutls-devel.i686 libgphoto2-devel.i686 openal-soft-devel openal-soft-devel.i686 isdn4k-utils-devel.i686 gsm-devel.i686 samba-winbind libv4l-devel.i686 cups-devel.i686 libtiff-devel.i686 gstreamer-devel.i686 gstreamer-plugins-base-devel.i686 gettext-devel.i686 libmpg123-devel.i686

Lancer QQ (testé en tant qu’utilisateur, il a l’air de marcher)

[lucien@comp ~]$ /opt/qq2012/wineapp/qq/qq.sh

Je ferai plus de tests, et je complèterai au fur et à mesure. Je vais voir notamment s’il est possible de faire les mises à jour, et éventuellement d’utiliser QQ2013. J’indiquerai également ce qui marche et ce qui ne marche pas.

Le chinois : (1) phonétique

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Published on: 07/02/2013

J’aurais pu appeler cet article « Le chinois pour les nuls », mais le nom doit être déposé…

Après bien des réflexions, j’ai décidé de fournir à mes prochains visiteurs la possibilité d’acquérir des bases suffisantes en chinois pour au moins pouvoir repérer les toilettes, et repérer quelques plats sur le menu…

Le chinois n’est pas une langue très compliquée, grammaticalement parlant tout au moins. La principale difficulté réside dans le système d’écriture, les caractères, même décomposés en éléments graphiques, étant nettement plus nombreux que les lettres de notre alphabet. La prononciation demande également des efforts.

Remarques préliminaires

Tout au long de ces articles de familiarisation avec le chinois, je m’efforcerai de donner systématiquement lors de l’apparition d’un nouveau mot ou d’un nouveau caractère, sa prononciation en pinyin, avec l’indication des tons, une approximation phonétique personnelle et probablement un peu plus pratique pour la plupart des gens, et finalement, son sens. Dans le cas de mots composés de plusieurs caractères, j’indiquerai si cela a un sens la combinaison des concepts unitaires qui forment le sens global. Le tout ressemblera un peu à ceci :

中国 Zhōngguó / Djonggouo / Chine {Milieu + Pays, l’Empire du Milieu}

Phonétique

Commençons par l’essentiel, la prononciation. La langue vernaculaire, le chinois commun (aussi appelé Mandarin), 普通话 () comporte 21 initiales (consonnes et semi-consonnes) et 36 finales (voyelles et diphtongues) pour 413 syllabes possibles (Il n’y a pas d’erreur de calcul, certaines combinaisons ne sont pas possibles). À cela se rajoute un système de 4 tons plus un ton « neutre ». Encore une fois, toutes les combinaisons ne sont pas possibles, mais je compterai plus tard.

Pinyin

Je donne ici un récapitulatif de toutes les syllabes possibles en chinois, ainsi qu’une introduction au système officiel de transcription du chinois utilisé en Chine, le pinyin (拼音, pīnyīn, littéralement « épeler le son »).

Initiales (Consonnes)

Ø

b

c

ch

d

f

g

h

j

k

l

m

n

p

q

r

s

sh

t

x

z

zh

F
i
n
a
l
e
s

(
V
o
y
e
l
l
e
s
)

a

a

ba

ca

cha

da

fa

ga

ha

ka

la

ma

na

pa

sa

sha

ta

za

zha

ai

ai

bai

cai

chai

dai

gai

hai

kai

lai

mai

nai

pai

sai

shai

tai

zai

zhai

an

an

ban

can

chan

dan

fan

gan

han

kan

lan

man

nan

pan

ran

san

shan

tan

zan

zhan

ang

ang

bang

cang

chang

dang

fang

gang

hang

kang

lang

mang

nang

pang

rang

sang

shang

tang

zang

zhang

ao

ao

bao

cao

chao

dao

gao

hao

kao

lao

mao

nao

pao

rao

sao

shao

tao

zao

zhao

e

e

ce

che

de

ge

he

ke

le

me

ne

re

se

she

te

ze

zhe

ei

ei

bei

dei

fei

gei

hei

lei

mei

nei

pei

shei

zei

en

en

ben

cen

chen

den

fen

gen

hen

ken

men

nen

pen

ren

sen

shen

zen

zhen

eng

beng

ceng

cheng

deng

feng

geng

heng

keng

leng

meng

neng

peng

reng

seng

sheng

teng

zeng

zheng

er

er

i

yi

bi

ci

chi

di

ji

li

mi

ni

pi

qi

ri

si

shi

ti

xi

zi

zhi

ia

ya

dia

jia

lia

qia

xia

ian

yan

bian

dian

jian

lian

mian

nian

pian

qian

tian

xian

iang

yang

jiang

liang

niang

qiang

xiang

iao

yao

biao

diao

jiao

liao

miao

niao

piao

qiao

tiao

xiao

ie

ye

bie

die

jie

lie

mie

nie

pie

qie

tie

xie

in

yin

bin

jin

lin

min

nin

pin

qin

xin

ing

ying

bing

ding

jing

ling

ming

ning

ping

qing

ting

xing

io

yo

iong

yong

jiong

qiong

xiong

iu

you

diu

jiu

liu

miu

niu

qiu

xiu

o

o

bo

fo

lo

mo

po

ong

weng

cong

chong

dong

gong

hong

kong

long

nong

rong

song

tong

zong

zhong

ou

ou

cou

chou

dou

fou

gou

hou

kou

lou

mou

nou

pou

rou

sou

shou

tou

zou

zhou

u

wu

bu

cu

chu

du

fu

gu

hu

ku

lu

mu

nu

pu

ru

su

shu

tu

zu

zhu

ua

wa

gua

hua

kua

shua

zhua

uai

wai

chuai

guai

huai

kuai

shuai

uan

wan

cuan

chuan

duan

guan

huan

kuan

luan

nuan

ruan

suan

shuan

tuan

zuan

zhuan

uang

wang

chuang

guang

huang

kuang

shuang

zhuang

ue

yue

jue

lüe

nüe

que

xue

ui

wei

cui

chui

dui

gui

hui

kui

rui

sui

shui

tui

zui

zhui

un

wen

cun

chun

dun

gun

hun

kun

lun

run

sun

shun

tun

zun

zhun

uo

wo

cuo

chuo

duo

guo

huo

kuo

luo

nuo

ruo

suo

shuo

tuo

zuo

zhuo

ü

yu

ju

qu

xu

üan

yuan

juan

quan

xuan

ün

yun

jun

qun

xun

C’est un gros tableau, que je donne principalement pour qu’il serve de référence, son utilisation sans personne pour corriger votre prononciation n’apportera pas grand-chose. Le défaut du pinyin est probablement d’utiliser des lettres déjà familières pour représenter des sons différents de ceux qui leur sont attribués en français. Mais son avantage est d’utiliser des lettres déjà familières. Un autre système de transcription, appelé Bopomofo ou Zhuyin, utilise des caractères qui lui sont propres pour représenter les phonèmes du chinois. L’avantage est qu’il n’y a pas de confusion possible, l’inconvénient, qu’il faut apprendre un nouvel alphabet :

ㄅ, ㄆ, ㄇ, ㄈ, ㄉ, ㄊ, ㄋ, ㄌ, ㄍ, ㄎ, ㄏ, ㄐ, ㄑ, ㄒ, ㄓ, ㄔ, ㄕ, ㄖ, ㄗ, ㄘ, ㄙ, ㄚ, ㄛ, ㄜ, ㄝ, ㄞ, ㄟ, ㄠ, ㄡ, ㄢ, ㄣ, ㄤ, ㄥ, ㄦ, ㄧ, ㄨ, ㄩ.

Bref, on restera sur le pinyin, et ma phonétique fantaisiste.

Notez que certaines syllabes présentent une variation graphique par rapport à celles qui se trouvent sur la même colonne, et que le tréma joue un peu à cache-cache. J’y reviendrai plus tard. Je vais préciser un peu plus la prononciation de chaque élément phonétique, en les regroupant par familles

Les initiales

21 initiales, plus l’absence d’initiale, donc 22 colonnes sur le tableau.

Ø : rien à dire, voir les finales, ci-dessous.

b : comme en français.

c : représente un son qui ressemble à /ts/ comme dans (mouche) « tsétsé ».

ch : représente un son qui ressemble à /tch/, comme dans « caoutchouc ».

d : comme en français.

f : comme en français.

g : toujours comme dans « gué », jamais comme dans « âge ».

h : son qui n’a pas d’équivalent en français, sauf dans certaines régions, c’est un /r/ qui vient du fond de la gorge, sans mouvement de la glotte, comme en espagnol, dans le prénom « Julio » (qui ne se prononce PAS comme Julien).

j : son particulier, à mi-chemin entre /dj/ et /dy/, comme dans « adjuvant » et « odieux », respectivement.

k : comme en français, avec une expiration supplémentaire. Je n’ai pas d’équivalent véritable, mais il me semble que la notation fantaisiste « kh » correspond bien.

l : comme en français.

m : comme en français.

n : comme en français (en tant qu’initiale, quand on le retrouve dans une finale, c’est un peu différent).

p : comme en français, avec une expiration supplémentaire.

q : représente essentiellement le même son que « c ».

r : un autre son propre au chinois, qui ressemble un peu à un son /j/, mais la position de la langue est différente. Si pour le /j/ français, la pointe de la langue est dirigée vers les lèvres, elle doit, pour le « r » du pinyin, remonter vers le palais.

s : comme en français, dans « esse »

sh : un /ch/ français (chameau) un peu plus chuintant, assez proche du « sch » allemand.

t : un /t/ expiré, presque au point d’incorporer le son « h » donné plus haut.

x : un /ch/ très chuintant.

z : le son /dz/.

zh : le son /dj/.

Les finales

a : comme en français

ai : comme dans « e »

an : comme dans « âne »

ang : relativement proche de « bang« , mais le g final ne s’entend pas, il transcrit une surnasalisation.

ao : comme dans l’anglais « cow » ou l’italien « ciao ». Le « o » final ne sonne pas.

e : le « eu » de « jeu« 

ei : « é« 

en : prononcé comme « une » à Boulogne : « eun« 

eng : pareil qu’au-dessus, mais avec une nasalisation finale. Ne pas prononcer le « g ».

er : proche de l’anglais « are« , mais avec un « e » à la place du « a »

i : un « e » bref, peu sonore.

ia : « ya« 

ian : comme dans « chienne« 

iang : comme dans « bruyant« , mais avec une nasalisation finale. Ne pas prononcer le « g ».

iao : « y » plus « ao » ci-dessus.

ie : « « 

in : « inne », le n est toujours sonore.

ing : pareil qu’au-dessus mais avec une nasalisation finale. Ne pas prononcer le « g ».

io : « yo »

iong : « yong », comme « ion« , mais avec une nasalisation finale. Ne pas prononcer le « g ».

iu : « yo« 

o : « o »

ong : comme « on« , mais avec une nasalisation finale. Ne pas prononcer le « g ».

ou : basculer rapidement de « o » à « ou« 

u : /ou/ ou /u/ en fonction de la consonne qui précède. /ou/ derrière b, c, ch, d, f, g, h, k, l, m, n, p, r, s, sh, t, w, z, zh. /u/ derrière j, q, x. voir « ü » pour le son /u/ après les consonnes de la première série.

ua : /wa/

uai : proche de l’anglais « why« 

uan : proche de l’anglais « one« 

uang : /wang/

ue : //

ui : // bref

un : « oun« , comme l’espagnol « un »

uo : « wo« 

ü : son /u/. Utilisé pour la distinction avec « u » (son /ou/)

üan : « uanne« 

ün : « une« 

Les tons

4 tons, représentés en pinyin à l’aide de signes diacritiques, s’ajoutent à la complexité de la phonétique du chinois. Tous ne peuvent pas être composés avec les 413 syllabes, mais certains changent en fonction de ce qui les entourent, il est donc préférable de les apprendre mot par mot. Ne pas pour autant les négliger, l’absence de tons rendra votre discours totalement incompréhensible à un natif, à moins d’un gros effort, que tous ne sont pas prêts à fournir.

Premier ton : ˉ ton plat, un peu aigu.

Deuxième ton : ˊ ton montant

Troisième ton : ˇ ton descendant, puis montant

Quatrième ton : ˋ ton descendant

Pour préciser l’importance des tons, je donne ici quatre caractères dont la prononciation ne diffère que par les tons, et dont les sens n’ont aucun rapport :

chū    sortir, survenir

chú    un type d’armoire

楚  chǔ    clair, distinct, ordonné

俶  chù    commencer


Balayage des tombes

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Published on: 04/03/2013

Aujourd’hui, j’ai accompagné Yinghui et son père dans le quartier de Huangpi (黄陂区) anciennement un village indépendant, maintenant rattaché à Wuhan. N’allez pas vous imaginer un quartier de ville, c’est un ensemble de villages claniques (nous sommes allés dans celui de la famille Tu) rattachés à un centre-ville plus moderne, qui lui, ressemble à un quartier de ville. C’est un peu loin, d’abord un bus jusque la gare de Huangpi, puis un taxi jusque chez l’oncle de Yinghui. En tout deux heures de route, la dernière partie à travers des routes de campagne pas assez larges pour laisser passer deux voitures de front.

La raison de cette excursion est que c’est la période où les vivants payent leurs respects aux morts, littéralement, avec des papiers symbolisant des billets, et d’autres objets inflammables qui ressemblent à des lingots d’or chinois (元宝), que l’on fait brûler sur les tombes, en finissant avec une guirlande de pétards, articles qui se trouve en devanture de l’ensemble des petites boutiques d’objets divers, notamment dans les villages, où les gens reviennent passer quelque jours en cette période.

Le village des Tu depuis les tombes

Pour le retour, nous avons pris un triporteur jusqu’à un arrêt de bus, chargés de légumes frais du jardin de l’oncle de Yinghui.

Le chemin du retour, vu de l'arrière du triporteur
Le chemin du retour, vu de l’arrière du triporteur
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